Libération - ”Les compositions de Chinaski veillent aux rires nerveux, ces sourires tristes que Nino Ferrer balayait à
la fin de sa vie du néologisme “désabusion”
Rock’n’folk - ”Si les morceaux les plus réussis sont ceux qui s’affirment comme de véritables
chansons, conduites par des mélodies séduisantes, toutes retiennent l’attention grâce à la force des textes.”
Nouvelle Vague -”Une réflexion sur les rêves, les souvenirs, l’amour sur un ton désabusé et
nonchalant, tantôt pessimiste, tantôt cynique, mais toujours juste.”
La Strada :”Chinaski allie une certaine forme de rock, dont on
pourrait trouver les traces chez Dylan ou les groupes anglais des sixties, à une certaine forme de chanson française pointue, qui pourrait aller de Ferré à Bashung en passant par
Gainsbourg.”